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Maël Galarneau

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MessageSujet: Maël Galarneau Maël Galarneau  EmptySam 19 Sep - 9:10

Informations Personnage

Nom : Galarneau
Prénom(s) : Maël Ruaraidh
Date de naissance : 17 mars 1982
Genre : Masculin
Nationalité : Français d’origine irlandaise
Métier : Patron d’une salle de sport
Sexualité : Sex… quoi ? Maël n’a aucun intérêt pour la chose. Il n’a pas le temps pour aller plus loin qu’une relation d’un soir.

Nom Réel : O’Sullivan
Prénom(s) Réel(s) : Ruadh Beathan
Race de naissance : Humain
Si transformation, par qui : Henri, son premier Alpha
Date de naissance : Dans l’année 1641
Meute de naissance : La meute d’Henri
Meute actuelle : Il est l’alpha de sa propre meute. Son territoire recouvre Paris
Identité connue ? Tous les lycans et une partie des vampires. Il ne cache ni son identité, ni son rôle.


Description Physique



Apparence humaine
L’alpha n’est pas de ceux qui peuvent arriver discrètement dans une pièce. Il l’a toujours su qu’il passait difficilement inaperçu.

Son malheur, quand il avait quelques années de vie, c’était sa tignasse. Ces cheveux roux qui attiraient le regard des autres. Mais rarement pour de bonne raison, c’était une chose qu’il n’avait pas encore comprise, à l’époque de son enfance. Il était roux, il était ceux qu’on liait au renard et autres animaux trop rusés et malins pour être apprécié. Mais il n’avait jamais eu le choix que d’apprendre à vivre avec sa chevelure flamboyante. Ce qui aurait dû le déranger le fait sourire. Il est roux, et il en profite totalement. Qu’on le regarde comme une incarnation du Mal, ce n’est clairement pas sa chevelure rousse qui en ait à l’origine.

Ils ne semblent pas prêter une attention particulière à son regard vert. Ils ne voient que sa chevelure flamboyante, sans chercher à voir le reste. Pourtant, il n’est pas hideux ou informe. Non, il a juste des cheveux roux. Des cheveux qui tombent aux épaules quand il les attache. Des cheveux qui passent leur temps à friser, donnant parfois une image amusante du lycan. Dommage que les gens n’aillent pas aux delà des idées reçues, pour voir ce jeune homme. Avec ses deux mètres cinq et ses cents-vingt kilos, Maël est imposant.

Sa peau encore pâle n’apprécie pas réellement la présence trop fréquente du soleil. Cela a toujours été ainsi. S’il le fréquente trop, sa peau vire rapidement rouge, avant de redevenir aussi blanche qu’avant, quelques jours plus tard. Non, il n’a pas cette peau qui a tendance à bronzer. Une simple peau blanche, tachetée par ces éternels taches rousses qu’on nommait plus communément des taches de rousseurs. Il en a au visage, mais aussi sur ses bras.
Pour ses vêtements, il ne recherche pas le beau, juste le pratique.  Il est ainsi, il ne s’ennuie jamais sur son apparence, il n’est pas de ces fashion-victim qui ne vivent que pour la mode. Lui optera assez facilement pour un jean et un t-shirt, sans se poser plus de question. Et si certaines cicatrices peuvent apparaître, il ne s’en soucie pas. Il a quelques griffures dans le dos, reste de vieux conflits, mais les années ont attenué les marques.

Apparence animale
Apparence
Taille : 1m10 au garrot
Poids : 95 kilos
Couleur de la robe : Rousse
Signe particulier : Quelques cicatrices qui ne se voient pas sous la fourrure rousse.


Description Mentale


La vie de Maël est remplie. Elle l’a toujours été, même avant d’être l’Alpha, même avant d’être bêta. La meute est toujours passée devant tout le reste, y compris sa vie personnelle. Il n’a jamais eu de compagne ou de compagnon plus que quelques semaines. Pourtant, il avait essayé, avant d’être bêta. Le début était presque bien avec Louise, mais elle avait râlé de passer après les autres lycans qui pouvaient pousser la porte de la demeure à n’importe quel moment. Elle avait essayé de garder Maël pour elle, sans le partager avec le reste de la meute. Mais pour celui qui serait un jour Alpha, il n’avait pas accepté ces caprices. La dispute avait provoqué des cris et de la fureur des deux côtés, mais jamais Maël n’avait regretté d’avoir laisser Louise partir. Parce que sa vie, c’était déjà la meute et ça l’est toujours.

Il le sait, certains en abuseront, certains essayeront de jouer avec les limites qu’il a fixé. Mais si les enfants auront le droit qu’à des sermons et des sanctions, il est bien moins tolérant avec les adultes. On peut ne pas être d’accord avec ses limites, mais il les a instauré pour les protéger et même si le monde à changer, il ne tient pas à voir une nouvelle chasse aux loups-garous ou aux vampires se propager dans le monde pour des caprices. Les siens le savent tous. Maël est globalement gentil avec eux, mais à la moindre incartade, il sera intraitable sur les sanctions à prendre. Parce qu’il en va de leur vie à tous. Mais au moindre bobo, on peut toujours venir le voir, il prendra le temps de soigner la blessure, de réconforter. Il n’est pas expert en soin, mais il sait soigner les blessures les plus fréquentes.

Le lycan est bon vivant, il aime bien s’amuser, taquiner l’Ambassadeur, même s’il ne se mêlera pas des histoires des immortels, tout comme il attend la même du vampire. Ce qui concerne sa meute n’a pas à sortir de cette dernière, sauf s’il y a des impacts chez les immortels. S’il n’attend pas que sa meute s’entende parfaitement entre elle et avec les autres, il s’attend à un minimum de courtoisie de leur part en présence des immortels ou des humains. Et ceux qui essayeront de provoquer des conflits en connaissent tous les conséquences.

Quand l’Alpha n’est pas à la demeure de la meute à faire toute sa paperasserie, il est dans la salle de sport dont il est le gérant. Il est bon sportif, il maîtrise de nombreux sports différents, mais il préfère de loin les sports de combat, comme la box anglaise, la savate, l’aïkido, judo. Il arrive assez facilement de voir Mikhail et Maël s’entraîner ensemble. Et si la différence de taille et de poids est importante, la différence de niveau l’est bien moins, même si le roux ne met pas souvent son adversaire au tapis. Mais c’est toujours des combats intéressants puisqu’il n’utilise jamais sa force brute face aux siens, sauf face à ceux qui essayent de le défier. Mais jusqu’à présent, aucun n’a réussi et tous ont quitté Paris.



Avis sur les races


Lycans :
Qu'il s'agisse des siens ou des solitaires en ville, ils sont tous sous sa surveillance et il les considère comme les siens, qu'ils soient d'accord ou pas. Concernant sa meute, il les protège mais il en attend une loyauté et une fidélité sans faille. Gare au premier fou qui voudrait jouer avec les limites...

Vampires :
Certains sont des idiots, d'autres des amis... Il n'a rien contre eux mais le premier qui l'agace finit soit sur un tapis avec la raclé du siècle soit devant l'Ambassadeur avec le sermon du siècle... Et oui, il n'a aucun remord à jouer de son amitié avec Mikhail.

Dhampires :
Tout comme les Vampires, il n'a rien contre eux. Il les traite comme les vampires.

Humains :
Il y a les humains de la meute, qu'il considère comme les siens. Les humains d'un clan vampire qu'il considère appartenir à Mikhail et les autres, dont il n'a rien à faire, mais dont il se méfie.





Histoire


Drogheda, Irlande, 11 septembre 1649 :
De ce jour maudit, il n’a pas beaucoup de souvenirs. D’un certain côté, il pense maintenant que c’est mieux qu’il ait oublié une partie des horreurs de ce jour. Avant ce jour-là, il vivait dans la ville irlandaise de Drogheda, avec sa famille. Il lui semble qu’il avait des frères et sœurs, mais il ne se rappelle pas vraiment. Il sait que sa mère était cuisinière à l’auberge où il travaillait en tant que palefrenier. Il se rappelle que son père était soldat. Mais il a oublié les noms, les visages. Il se rappelait des rumeurs qui étaient arrivés au début du siège de la ville. Il avait entendu les cris quand Cromwell et ses hommes avaient passé les portes de la ville. Ils avaient exécuté tous les soldats sans état d'âme et du haut de ses huit ans, il n'avait pas compris. Caché parmi les chevaux, il n'avait pas osé bouger avant le lendemain soir. Il avait huit ans, il venait de perdre sa famille...

Pendant longtemps, il n’a gardé que très peu de souvenirs de ce jour et des suivants. Actuellement, on aurait diagnostiqué une amnésie traumatique. En même temps, avec le massacre qu’il y avait eu ce jour-là, ça n’avait rien d’étonnant qu’il ait fait une amnésie. Il ne se rappelle pas du chemin qu’il a fait pour arriver à la meute d’Henri. Il était même bien incapable de savoir quel est le membre de la meute qui l’avait récupéré.

C’est surtout ce que les livres d’histoire ont raconté qui lui a rappelé ce jour-là et les suivants. Mais il préfère les oublier.
Il le sait, les hommes sont cruels. Les hommes sont intolérants.

Tous les membres de la meute avaient été choqué quand Abaigh avait amené un enfant plus âgé qu’elle. Affamé, le regard hanté, les traits tirés, la première vision qu’ils avaient eu de l’enfant en disait long sur ce qu’il avait vécu, même si les souvenirs s’étaient estompés de sa mémoire. Le jeune roux avait été nommé Ruadh, sans savoir quel était son nom d’avant. Parce que pendant des semaines, le jeune roux avait juste suivi Abaigh qui le traînait partout dans le village. Il n’aimait pas les adultes, mais la jeune enfant pouvait le mener là où elle en avait envie. Les adultes avaient regardé les deux enfants se lier d’amitié. La petite fille avait pris sous son aile cet enfant abîmé.


Irlande, 1665 :
Les années avaient passé. L’enfant avait grandi. D’un enfant catatonique et silencieux, il était devenu un jeune adulte presque sain. Parfois des cauchemars revenaient le hanter, mais au réveil, seul les sensations restaient. Il ne se rappelait pas vraiment du massacre. Et il n’allait pas s’en plaindre, pas plus que les autres membres de la meute. Le dos droit, le regard posé sur l’Alpha de sa meute, il avait vingt-cinq ans et une volonté certaine. Il était sur de lui. Même s’il savait qu’il allait être malade. Même s’il savait que ça pouvait échouer ou le tuer.

« J’en suis certain. »


Irlande, 1690 :
Du haut de ses quarante-neuf ans, le jeune roux se demandait s'il avait pris la bonne décision. Certes majeur pour les siens, la quinzaine de survivants n'en menait pas large. Il n’était pas le plus âgé, mais avec ses nombreuses blessures, Alaric n'avait pas la forme pour aider ses benjamins. Le vieil homme de sept cent vingt ans avait donné les ordres. Récupérer les vivres, les animaux et ne pas rester dans les cendres de ce qui avait été leur chez eux. Aidé d'Abaigh, des quelques adultes survivants et des enfants, Ruadh avait à nouveau pris préparé ses affaires pour reprendre le chemin de l’exil. Il comprenait parfaitement que les enfants étaient perturbés par le massacre fait par des humains.

« Al, tu penses qu'on devrait s'installer où ? »

Ils savaient tous qu'ils devaient s'intégrer à une autre meute. Personne ne pouvait remplacer Henri et ses bêtas. Pas assez vieux pour certains, trop âgés pour d’autres. Mais ils en avaient vu arriver des restes de meutes. La guerre civile en Irlande faisait des ravages et pas que chez les humains. Le cœur serré de perdre encore son chez lui, l'adulte avait mis de côté sa peine et ses envies de vengeance. Rien ne ramènerait l'insouciance dans les yeux des enfants et qu'importe qu'il soit encore un enfant aux yeux des siens, il ne se considérait  pas comme tel. Alors il avait aidé les autres adultes, quand ils avaient besoin de bras, confiant à Abaigh, quarante quatre ans les enfants. Ils savaient tous que les cauchemars viendraient, que leur méfiance à l'encontre des humains serait forte.

« Je crois que Ryan est à deux semaines au sud d'ici. »

Mais le voyage prendrait plus de temps entre les enfants et Alaric. Ils avaient enterré les leurs avant de prendre le chemin de la meute de Ryan. Il avait quarante-neuf ans et refermant la page de cette meute qui avait récupéré un enfant terrifié, quarante ans plus tôt.

Au final, ils avaient mis trois mois avant de se réinstaller… A Paris, parce que la meute de Ryan avait déjà fui l’Irlande quand le massacre de leur meute avait commencé à se savoir. Des quinze survivants, il n’avait été que sept à arriver à Paris. Certains avaient préféré s’arrêter pour rejoindre d’autres meutes. Certains étaient morts des suites de maladies, de blessures mal soignées…


Gevaudan, 1765 :
La fameuse histoire de la bête du Gévaudan.

Les rumeurs d’une bête tueuse avaient atteint Paris. Ce n’était pas la première fois qu’une telle rumeur atteignait Paris. Parfois ils allaient vérifier, parfois d’autres meutes allaient vérifier. Comme il y avait une meute présente dans le Gévaudan, l’Alpha avait voulu que certains des siens aillent vérifier. Un de ses bêtas, Benjamin, y était allé en emmenant Maël et Al avec lui. Les trois lycans avaient trouvé une meute agitée, mais vu que certains étaient blessés voir morts de la Bête, ils pouvaient comprendre son agitation. Ils ignoraient ce qui attaquait dans le coin, mais ce n’était pas un lycan solitaire. Dans le doute, ils avaient demandé un coup de main à Mikhail et aux immortels pour mettre la main sur la Bête.

En un peu moins de quatre mois, ils avaient fini par comprendre ce qui s’était passé.
Ils n’avaient pas eu toutes les explications au début, on les avaient laissé croire que les évènements n’étaient pas ce qui avaient bien pu se passer. ils n’avait pas compris que Marie n’était pas morte en septembre 1764, mais bien des mois plus tôt, d’une attaque humaine. La colère de son père avait entraîné la meute à attaquer les humains aux alentours, provoquant la rumeur d’une Bête féroce… La dessus, un vampire solitaire était arrivé et avait assisté à tout ça, avant d’en profiter allègrement pour se nourrir sans faire trop attention, provoquant quelques morts. Et les angoisses et hystéries collectives dignes des chasses aux sorcières avaient provoqué quelques morts chez les lycans, expliquant que les trois arrivants de Paris n’avaient pas compris ce qui se passait.

Les sanctions avaient été prises, la meute détruite à l’exception des quelques enfants survivants et s’ils quittaient la région avec eux, tous ne viendraient pas jusqu’à Paris, certaines meutes récupéreraient des enfants pour les intégrer aux siens, en sachant qu’il allait falloir les surveiller comme du lait sur le feu au vu de la meute qui les avaient hébergé jusque-là. Et si certains allaient rejoindre la meute de Paris, l’un des enfants n’avait pas voulu lâcher Mikhail d’un pas. C’était très amusant de voir un louveteau de sept ans suivre partout l’ambassadeur vampire.


Paris, 1789 :
La révolution…

Il voyait le monde basculer. Il voyait la colère, la haine des humains. Il savait parfaitement ce que cette haine pouvait donner. Il n’avait pas oublié ses exils. Il se souvenait un peu, mais ils n’avaient pas d’importance à ses yeux. Il avait plus important à faire. S’assurer que tout le monde allait bien, s’assurer que les enfants ne craignaient rien.

Parce que ceux qui étaient les enfants de jadis s’étaient tourné vers lui ou Abaigh pour le réconfort devant l’angoisse que produisait la situation. Parce que le roux et sa sœur avaient ce côté rassurant et réconfortant sur lesquels ils avaient pu compter quand ils avaient été perdu. Parce que malgré son côté bourru, Maël prenait toujours le temps de chasser les cauchemars qui pouvaient hanter les rêves. Ce que Victor ne savait pas être. Parce qu’il n’avait pas le temps. Parce qu’il fallait protéger la meute entière, pas juste quelques enfants terrifiés. Mais les deux irlandais n’avaient aucun remord à s’arrêter le temps de réconforter et rassurer ceux qui en avaient besoin. Tous les membres de la meute savaient où ils vivaient et qu’ils pouvait toujours y venir. Leur maison était toujours ouverte et à tous. Et dans les temps qui couraient, c’était à la fois un mal et un bien.



Paris, 1870 :
Le regard vert de Maël se posa sur l’idiot qui lui faisait face. Il avait très envie de le taper… Mais très très fort… Mais il ne pouvait décemment pas en retourner une à un abruti de Bêta… L’attrapant par l’oreille, le jeune homme poussa la porte de la demeure de l’Alpha. Le roux était furieux. Et personne ne l’avait jamais vu comme ça. Sauf peut-être Isabelle -le nouveau prénom d’Abaigh- qui savait que rien n’apaiserait la colère de son frère.

« Victor ! Récupère-moi cet abruti avant que je l’encastre dans ton mur. »

On ne touchait pas à sa sœur. Jamais. Personne de sensé n’aurait pris la peine de la blesser volontairement. Et Maël était furieux. Et Benjamin commençait à avoir un peu peur… Jamais le roux n’avait semblé aussi furieux. Tout ca pour une simple baffe. A aucun moment il n’avait voulu blesser la jeune femme en la projetant contre le mur. Seulement, Maël avait ouvert la porte à ce moment-là. Et Maël avait été furieux. Car on ne touche pas sa sœur. Encore moins quand on la les manières d’un homme de Néandertal et c’était insultant pour les hommes préhistoriques, pas pour le Bêta.

« Que je sache, Isabelle a parfaitement le droit de refuser ses avances sans se faire maltraiter. Depuis quand les Bêtas ont permission d’aller contre les règles de la meute ? »

La sanction avait été sévère. Parce que même si Benjamin n’avait pas voulu blessé la jeune femme, il n’avait pas à aller contre les règles de la meute. Et encore moins en étant un de ses Beta. Et il savait que si la punition n’était pas exemplaire, la meute en pâtirait. Parce que le rouquin n’était pas de ceux qui pardonnaient facilement, parce que ça aurait été dire aux femmes qu’elles n’étaient pas en sécurité auprès de la meute. Ca aurait été la porte ouverte à tous les abus, à la destruction de la meute… Victor n’avait pas hésité longtemps, Maël ferait un bon bêta et il avait une place vacante.


Paris, 12 septembre 1929 :
« Non mais quel idiot ! »

Le roux avait le nez plongé dans les comptes de la meute et ce qu’il venait de découvrir le dépitait. Il ignorait qu’à quelques jours près, la meute aurait pu perdre une majeure partie de sa fortune parce qu’un idiot avait misé tout l’argent en banque sur des actions plus frivoles les unes que les autres. Récupérant les documents, Maël alla voir Victor, pour comprendre pourquoi il avait autorisé cela. Ca n’avait aucun sens. Comme de nombreuses actions de son aîné ces derniers temps. La meute ne disait rien, mais il savait que les autres bêtas tout comme lui commençait à se questionner sur les actions de l’Alpha. Mais aucun n’avait encore cherché à l’évincer en le provoquant en duel.

Maël retint son envie d’encastrer son Alpha dans le mur le plus proche. Il ne fallait pas le traiter d’idiot, d’inculte et de bouseux irlandais. Il y avait des limites que même lui ne pouvait accepter. Le rouquin avait encore assez de retenue pour ne pas provoquer le duel. Il l’admettait, il n’avait pas la certitude de vaincre Victor. A la place, il rentra chez lui, rejoindre les autres habitants de la maison pour se vider la tête. Être bêta, quelle plaie.

Trois semaines plus tard, Maël en collait son poing dans le mur pile à coté de l’Alpha. Trois semaines très compliquées. Un des bêtas était parti d’agacement, un autre avait décrété qu’il ne mettait plus un pied dans l’ambassade lycane. Et au final, c’est Maël qui avait craqué et le combat avait été violent. Vainqueur Maël, Perdant Victor. Le plus jeune savait que le plus compliqué restait à faire. Remettre la meute en état.


Paris, 2013 :
Alpha depuis des années, l’emploi du temps de Maël est toujours chargé. Mais il essaye de trouver quelques heures pour ceux qui en ont besoin. Que ce soit ceux de sa meute, les lycans solitaires, ceux sous la protection d’un clan vampire...


Pour aller plus loin

Pseudo : Chtuluh
Âge : 30+
Avatar : Meraud, by MabyMin
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Dernière édition par Maël Galarneau le Mar 15 Mar - 18:28, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Maël Galarneau Maël Galarneau  EmptyDim 14 Mar - 20:07

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